En Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’Adie veut renforcer son maillage
Permettre à des hommes et femmes sans emploi ni capital de créer leur propre activité et d'en vivre. C'est ce en quoi croit Maria Nowak, économiste engagée lorsqu'elle fonde en 1989 l'Adie, ou Association pour le droit à l'initiative économique, une association reconnue d'utilité publique. Une manière de réduire les inégalités d'accès à l'entrepreneuriat. En s'attaquant d'abord à la question, cruciale, du financement des projets. « Notre mission est de financer par le microcrédit et d'accompagner des personnes qui veulent créer et développer leur entreprise, partout en France », explique Sébastien Chaze, directeur de l'antenne régionale qui compte 37 salariés. « Le microcrédit, ce sont des prêts de 12.000 euros maximum qui permettent de financer des personnes lorsque les banques classiques...